Donald Trump a célébré lundi 13 octobre la libération des 20 derniers otages israéliens détenus par le Hamas dans la bande de Gaza. « Il a fallu 3 000 ans pour en arriver à cet instant, vous imaginez ? » a déclaré le président américain, selon Le Monde, savourant ce succès diplomatique historique après 738 jours de captivité.
L'échange a permis la libération de ces 20 otages contre 1 968 prisonniers palestiniens, confirme La Tribune. Cette opération s'inscrit dans un accord de cessez-le-feu plus large négocié lors du sommet de Charm el-Cheikh en Égypte, co-organisé par Trump et le président al-Sissi, rapporte La Dépęche.
Une diplomatie de rupture
Trump a privilégié une approche non conventionnelle basée sur les relations personnelles et les rapports de force plutôt que sur la diplomatie multilatérale traditionnelle. D'après Le Monde, il a choisi d'ignorer délibérément les droits politiques palestiniens pour se concentrer sur un objectif immédiat : la libération des otages.
La restauration des relations entre les États-Unis et le Qatar s'est révélée cruciale pour débloquer les négociations avec le Hamas, indique La Tribune. Cette stratégie économique promet aux pays du Golfe une « aube nouvelle » pour le Moyen-Orient avec leur financement et le soutien américain.
Triomphe et défis à venir
Trump a reçu une ovation debout au Knesset israélien et a été accueilli en héros pour cette réussite diplomatique, confirment Ouest-France et 20 Minutes. Dans les rues, des Israéliens portaient des casquettes « Trump, le président de la paix », rapporte La Dépęche.
Cependant, le Hamas anticipe des négociations « difficiles » pour la Phase 2 impliquant son désarmement et une transition gouvernementale à Gaza, selon 20 Minutes. Ces défis futurs pourraient tester la durabilité de cette percée diplomatique inédite.
Sources utilisées : "Le Monde", "La Tribune", "La Dépęche", "Ouest-France", "20 Minutes"
Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.