Colis piégés en Dordogne : Manuel Bompard, Estelle Denis et Élodie Poux visés

2 godzin temu
Un journal illustre les préoccupations sécuritaires liées aux menaces terroristes (Image symbolique - Générée par IA) Upday Stock Images

Trois colis piégés destinés à des personnalités publiques ont été découverts samedi dans un bureau de poste de Sainte-Aulaye, en Dordogne. L'un des paquets a explosé sans faire de blessé, tandis que les deux autres ont été désamorcés par les équipes de déminage de la gendarmerie.

Les colis visaient le député Insoumis Manuel Bompard, la journaliste Estelle Denis et l'humoriste Élodie Poux. Selon La Dépęche du Midi, les paquets contenaient de petits détonateurs et des charges explosives qualifiées de "faible détonation" et "sans danger majeur".

Destinataires professionnels

L'explosion s'est produite samedi à la mi-journée dans cette commune de 1 300 habitants située à 45 kilomètres à l'ouest de Périgueux. Les enquęteurs ont établi que les colis n'étaient pas adressés aux domiciles personnels des victimes, mais à leurs lieux de travail, notamment à l'Assemblée nationale pour Manuel Bompard.

Une enquęte a été ouverte par le parquet de Périgueux et confiée à la section de recherches de Bordeaux. Le parquet national anti-terroriste ne s'est pas saisi du dossier samedi en début de soirée.

Réactions contrastées

Manuel Bompard a confirmé avoir été visé par ces menaces, déclarant : "Il arrive fréquemment que nous recevions des mails d'insultes, mais je n'avais jamais reçu de menace plus grave." Les forces de l'ordre ont invité les trois personnalités à la prudence.

Élodie Poux a réagi avec humour dans une vidéo diffusée dimanche soir : "Je n'ai rien contre recevoir des petits cadeaux mais franchement, je préférerais des chocolats. Je préfère m'exploser le bide plutôt que d'exploser tout court !" La journaliste Estelle Denis n'a pas réagi publiquement.

Antécédents de menaces

D'après Voici, Élodie Poux avait déjà fait l'objet de menaces de mort par le passé, l'obligeant à recourir aux services d'un garde du corps. Cette situation pourrait s'expliquer par une confusion avec une magistrate spécialisée dans l'antiterrorisme portant le męme nom de famille.

Sources utilisées : "La Dépęche du Midi", "Voici" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.

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